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Photo of NYC subway courtesy of Keith Stanley, www.kestan.com  

L’enfer sur les roues

L’emploi de chef de train sur les trains du Métro de New York est un voyage au cœur de l’obscurité humaine

The job of conductor on the trains of the New York Subway is a journey to the heart of human darkness. Attila, a Hungarian, graphically describes his experience as a New York Subway employee. He was practically the only white train conductor and often the victim of violent attacks by blacks.

Daniel Attila



Je suis ne en Hongrie, et me suis échappe de mon pays en 1982 a l’âge de 18 ans. Je me suis retrouve a New York en 1984 avec l’intention de devenir un artiste, mais après dix ans de lutte, je réalisais que je n’y arriverai pas après tout. En 1993, je me suis enrôle a l’université de New York, tandis que je me supportais pendant quatre ans, travaillant comme chef de train dans le Métro de New York. C’est un de ces boulots qui introduit l’immigrant tout de suite a la réalité du multiculturalisme. En dessous des rues de New York, j’ai vu et fait des choses que peu de Blancs – je l’espère – ne verront ou feront.

Les chefs de train sont en charge des portes des trains, font les annonces, donnent des informations au passagers et supervisent la sécurité de ceux-ci sur les trains et les plateformes. La plupart du temps, ils restent dans un petit compartiment dans le wagon central du train. Il y a beaucoup de villes opérant un Métro qui n’ont qu’un conducteur sur le train, mais New York est une ville pleine de challenges et n’ayant qu’une seule personne sur le train exposerait le système a la violence et la pagaille.

Aller au collège tout en travaillant dans le Métro, n’est pas le rêve de tout le monde, mais les chefs de train sont bien payes. Le salaire débute a $30-40,000 par année, avec un maximum de $40-50,000 qui peut être atteint en trois ans. Les chefs de train qui deviennent conducteurs peuvent gagner entre $50-70,000 avec les heures supplémentaires. Ces hauts salaires sont dus au monopole de l’Autorité de Transit sur les transports de la ville. La plupart des membres du syndicat sont Noirs, et aucun politicien voulant une carrière a New York, n’oserait se mêler de ses affaires. Même dans les années trente, la puissante TA n’a débauche aucun employé pendant la Grande Dépression.

Je suis allé a l’école a Chinatown pour écrire l’examen d’employé municipal pour ce boulot. Une fois accepte, je me suis trouve le seul Blanc la bas. A part une femme indienne qui était assise devant moi, je n’ai vu que des Noirs bien qu’il y avait 40 étudiants qui écrivaient. Je me suis demande pourquoi j’était le seul blanc. « Est-ce que les blancs américains ne veulent pas un travail qui paie $40-60 000 per an et qui ne demande même pas une éducation d’école supérieure? » Peut-être en réponse, un des noirs devant moi se retourna pour me regarder avec un visage plein de haine – ce même visage que je verrai beaucoup dans les années suivantes.

L’examen était facile – un surprise pour moi – et je me demandais s’il était possible pour n’importe qui en dessus de six ans de l’échouer. Je me souviens encore d’une des questions. En fait il m’est impossible de l’oublier:

Si vous ôtes un conducteur d’autobus et vous voyez un enfant se pendant dehors a l’arrière du bus, qu’allez-vous faire?

a) Je vais freiner, puis accélérer, répétant cette manœuvre jusqu’à ce que le gosse tombe et apprenne sa leçon.

b) J’ignorerai le gosse et continuerai a conduire prétendant que je ne sais rien.

c) Je vais arrêter l’autobus et en personne, je vais m’assurer que le gosse descendra.

Faisant partie de l’examen, il nous était nécessaire de trouver certains endroits dans la ville, tel que l’Empire State Building, le Brooklyn Bridge et les Nations Unies, avec l’aide d’une carte. Sans avoir besoin de le dire, l’examen a très bien passé et je me félicitait d’être venu dans un pays ou les emplois bien payes sont si faciles a obtenir.

J’ai commence a apprendre la réalité du problème racial américain au début de mon programme de formation avec la TA. Il y avait un noir énorme dans notre classe qui avait l’habitude de me tamponner chaque fois qu’il le pouvait. Je me suis aperçu qu’il le faisait exprès, essayant d’infliger plus de peine qu’une collision normale, mais pas assez pour être qualifie comme assaut.

La classe consistait de 80 élèves, avec une demi-douzaine de blancs. La plupart de la formation était donnée par un vétéran blanc qui nous racontait des aventures drôles et a faire peur qui étaient arrivées a des travailleurs du métro. Il nous disait de faire attention aux assauts des passagers. « On vous crachera tous dessus, il répétait a toute occasion, je vous le garantis ». Âpres quatre semaines de classe, nous avons eu deux semaines sur les trains, sous la supervision de chefs de trains expérimentes. Le premier jour, un noir solide qui était sur la plateforme et dont le bras droit était plus épais que mes deux cuisses ensemble, essaya de me donner un coup de poing au visage lorsque je me penchais a la fenêtre pour observer le quai. Le chef de train qui me supervisait m’a dit que cela se passait chaque jour et que c’était très dangereux.

Aussi pendant la période d’apprentissage, je vis un incident horrible dans le quartier de Brooklyn a l’est de New York. Une bande de jeunes noirs descendit sur un jeune garçon noir qui était assis sur un banc. En quelques secondes, ils l’ont battu de la tète aux pieds et se sont enfuis en vitesse avant que les portes se referment. On a essaye de parler au garçon, qui était en mauvais état, lui demandant s’il voulait aller au docteur ou a la police. Quand il dit qu’il ne voulait pas, on lui a demande pourquoi il s’sst fait attaque. Il nous a dit que c’était son premier jour dans un nouveau travail et la bande ne voulait pas qu’il aille travailler.

Après la période d’apprentissage, je fus nomme chef de train et je commençais a opérer comme tel. Il n’a pas fallu beaucoup de temps avant que les prédictions de notre instructeur se soient réalisées. J’étais en charge d’un train dans le Bronx lorsque je remarquais un gros groupe de noirs sur le quai, juste en dehors de la fenêtre du chef de train. Instinctivement, je sentis leur présence menaçante, mais les règles demandent que le chef de train se penche a la fenêtre et inspecte le quai dans les deux directions avant de fermer les portes. Je n’avais pas le choix et devait prendre le risque d’ouvrir la fenêtre. Au moment ou je l’ai ouverte, un des noir me crachat dans les yeux. J’avais bien des lunettes de sécurité, mais j’ai encore reçu de la salive sur mon visage – les règlements demandent que les lunettes soient portées pour nous protéger contre les assauts des passagers.

Pendant les quatre années que j’ai passées comme chef de train, les noirs et les latines se cachaient derrière les piliers et me crachaient dessus -avec un force et une précision étonnantes. En autre occasions, ils me jetaient des objets, essayaient de me donner des coup de poing, ou me lançaient des insultes.

Dans une attaque, un noir de trente ans a peu prés, jeta un grosse bouteille a mon visage. Je réussis a fermer la fenêtre quand la bouteille éclata – la force était telle que des morceaux de verre se sont insères dans la fenêtre acrylique et sont restes la jusqu’à la fin du voyage. Lorsque nous sommes arrive au terminal j’ai approche a un superviseur noir sur le quai et lui ai demandes: « Que dois-je faire si quelqu’un m’attaque pendant mon travail et si l’attaque est grave? » « Si vous ôtes blesse, vous tirez la corde et vous demandez au bureau de commande d’envoyer la police et l’ambulance » était la réponse. « Mais si vous n’avez pas de blessures? S’il vous as Presque tue et par chance vous avez pu vous échapper? », je continuait. « Alors il n’y a pas de problème » dit le superviseur, « vous continuez ».

A une autre occasion, en charge d’un train « D » dans le Bronx, a garçon dans un groupe d’étudiants d’école supérieure, lanca un caillou lourd a mon visage avec beaucoup de force et de précision. Instinctivement, j’ai lève ma main pour me protéger le visage et j’ai été suffisamment blesse pour être admis a l’infirmerie. A l’hôpital, l’infirmière m’a dit qu’un conducteur d’autobus, lui aussi blesse dans une attaque, a été traite quelques heures plus tôt.

Lorsque je travaillais pendant les « heures d’école », au début de l’âpres midi quand les étudiants rentraient des écoles publiques, des voyous – jamais des Blancs ou des Orientaux – sabotaient régulièrement les trains. Ils cassaient les fenêtres, tiraient la poignée de sécurité, éventraient les sièges afin de pouvoir couper les fils électriques. Si l’équipe du train ne pouvait pas fixer le problème, nous devions décharger les passagers et transférer le train au dépôt pour réparation. Des que nous déchargions les trains, les passagers noirs et Latines nous menaçaient de violence, nous accusant de d’endommager les trains nous-mêmes afin que nous puissions aller chez nous de bonne heure.

Mes épreuves ne finissaient pas avec mon travail. Le voyage pour rentrer chez moi était aussi épuisant que le temps passe au boulot. Tard le soir, lorsque je rentrais chez moi, les trains étaient presque vides de travailleurs et de gens normaux. Souvent c’étayent des bandes de « jeunes » qui patrouillaient les trains, allant de wagon en wagon, sautant sur les sièges, commençant des bagarres, et harassant les passagers. Souvent je m’enfermait dans la cabine du chef de train, comme je le faisait pendant la journée.

Un soir, âpres le travail, lorsque j’étais en train de monter dans le train, un grand noir courant dans la direction opposée, m’est rentre dedans. Il était si mal habille qu’il avait l’air d’un clochard. Il avait une boite de nourriture chinoise qu’il laissa tomber quand il me tamponna. Voila son dîner fichu. Bien que la collision était entièrement de sa faute, il commença a me menacer, jurant et demandant de l’argent. J’ai regarde autour pour voir s’il y avait quelqu’un d’autre sur le quai de la gare – aucun espoir de recevoir de l’aide d’autre blancs dans les circonstances – mais il n’y avait personne.

Je ne me rappelle plus combien de temps notre dispute a dure, mais il m’a semble que c’était une éternité. L’empêcher de m’attaquer pris toute mon énergie. Je finis enfin a m’échapper et suis rentre chez moi. A bout de nerfs, je me suis effondre sur le sol et me suis mis a pleurer, comme un gosse. Ce qui m’a vraiment affecte n’était pas cet incident en particulier, mais la somme de tous ces assauts et ces humiliations qui avait pris place avant – les assauts, les insultes, les crachats et surtout, pouvoir rien n’y faire. Se défendre violemment aurait certainement coûte a un Blanc sont travail.

Nouveaux Horizons

Ce travail m’a permis de profiter de l’occasion de voir des quartiers de New York que d’autres Blancs ne voient que très rarement. Les États-Unis seraient peut être le seul pays qui n’a pas été attaque, mais il y a des endroits qui nous donnent l’impression qu’ils sont alles en guerre. Cette fameuse capitale culturelle, a des quartiers aussi grands que des cites, qui ressemble a Stalingrad ou Yokohama âpres le bombardement.

Ce boulot m’a aussi permis de faire connaissance avec le noirs d’une façon dont je n’aurait jamais pu le faire autrement. Le comportement de nos « clients » n’affectait pas du tout mes collègues noirs. Bien qu’ils n’aient pas été complètement sans danger, ils n’avaient pas a faire face a des assauts de la même sévérité et aussi fréquents, sans parler d’attaques racistes.

Lorsqu’il ne travaillaient pas, les noirs avaient des parties dans notre chambre sale, mal ventilée. sous terrain ou ils célébraient les anniversaires ou le Kwanza avec des gâteaux a bon marche et restauration rapide. Ceux qui n’étaient pas noirs recevaient l’ordre de quitter la chambre avant ces évènements; la plupart des noirs croyaient que la ségrégation aux même termes étaient mieux que l’intégration.

Les noirs disaient que c’était un scandale, le fait que les écoles n’enseignaient pas que Jésus Christ et les anciens Egyptiens étaient noirs. Chaque jours, pendant la période du déjeuner, j’était témoin de débats animes sur ces sujets. J’appris aussi que tout ce qui allait mal dans les quartiers noirs, était la faute des Blancs. Mes collègues croyaient que l’esclavage était la cause des naissances illégitimes et de la dépendance sur la charité des autres, et que le gouvernement refusait de dépenser des fonds sur les quartiers ou ils vivaient. « Quand vont-ils prendre de l’argent et nettoyer le Bronx, Brooklyn et Manhattan? » demandait-ils.

Les Blancs de leur cote, ne se mêlaient pas a ces débats, préférant écrire leurs opinions sur les murs des toilettes fournis aux travailleurs de transit. « Tuez tous les nègres », était le sentiment le plus prononce que j’aie vu, avec d’autres commentaires tel que: « Rendez un service a votre pays, tuez un libéral ». Travailler sous terre semble avoir dégrade tout le monde.

En plus des pressions de mon travail, j’était force de vivre dans l’atmosphère anti-blancs du City College. Un des plus anti-blancs parmi les enseignants était un professeur anglais autrement intelligent au nom de Hannah Rogers. Âpres quelques classes pleines d’insultes contre les Blancs, Prof. Rogers fit un discours comme ci-dessous

Au début, avant que l’homme blanc soit venu, les peuples de couleur qui possédaient ce pays vivaient en paix, co-habitant avec la nature et les animaux. Puis sont venus les Européens, qui ont tue ces peuples et les animaux et ont détruit la nature. Maintenant, les peuples de couleurs commencent a réclamer le sol qui leur appartient et un de ces jours, les masses de couleur se révolterons et les Blancs qui ont mis toutes les autres races en esclavage, seront détruits. Le sol serait repris afin que ceux a qui il appartient puissent vivre de nouveau en paix et en harmonie avec leurs frères et la nature. J’espère seulement, « elle conclus » que les blancs qui étaient bons soient épargnes ».

J’était offense et choque, mais j’ai appris quelque chose que je n’avait jamais suspecte. J’avais toujours pense que les « libéraux » étaient comme ils étaient, parce qu’ils vivaient dans des ghettos blancs et ne réalisaient pas ce qui se passait autour d’eux. Pas du tout. Au moins, quelques uns croient que la guerre civile est a l’horizon. Ils l’espèrent, ils l’encouragent et peut être pensent qu’il vont gagner quelque chose de cette guerre.

East New York

Peut être le plus terrible incident de ma carrière a la TA s’sst passe pendant l’été de 1993 lorsque je travaillais sur la ligne « A ». Cette ligne passe dans les pires quartiers de la ville, la section East New York de Brooklyn. Je n’ai jamais opérer la bas pour un seul jour sans être assaut ou humilie d’une façon ou d’une autre.

Un âpres midi chaud, comme j’ouvrais la porte de la gare de Ralph Avenue, j’entendis quelque chose qui ressemblait a un coup de fusil. Ce n’était pas aussi sonore qu’au cinéma, alors j’ai pense que ça venait de l’appareillage. Cependant, je fus trouble de voir quelques noirs avec des masques sur leur visage, sortir en vitesse du dernier wagon, monter les escaliers et disparaître. Il n’y avait pas moyen de ne pas comprendre la situation; un incident eu lieu dans le dernier wagon, et le règlement demandait que le chef de train aille faire l’enquête. Aucun chef de train avec expérience ne serait allé enquêter, dans une situation comme celle la, en dépit des règlements, mais je n’avais pas beaucoup d’expérience. Âpres avoir fait quelques annonces aux passagers, je pris mon courage en main et suis allé vers le dernier wagon, prétendant être calme.

Il y avait des gens a chaque porte, se plaignant du retard. Dans le dernier wagon, je trouvais un homme sur le sol avec des blessures sanglantes aux jambes. J’ai utilise ma radio portative pour aviser le conducteur de train de ce qui s’était passé et je commençait a retourner vers le centre du train. Le conducteur annonça que tous les passagers devraient quitter le train afin de nous puissions nous assurer que tout les compartiments soient vides avant d’appeler la police.

J’étais le seul Blanc sur le quai de la gare. Des que les passagers sortirent du train, ils restèrent sur le quai et commençaient a former une ligne prés du train. J’ai du marcher vers ma position au centre, entre le train a gauche et la ligne de passagers sur la droite. Je passais trois wagons et avait deux de plus a passer avant d’atteindre la seule position ou je pourrais fermer les portes. J’étais suppose devoir marcher toute la longueur du train pour m’assurer qu’aucun passager ne soit rester dedans. J’ai eu la sensation que je n’arriverai pas a y faire et j’ai essaye de retourner a ma position.

Comme j’avançais, les gens fermaient le passage entre eux et le train, jusqu’à ce que cette allée soit devenue si étroite qu’il était impossible de passer sans les toucher. « Qui a été abattu » demanda une jeune femme « Noir ou Blanc? ». Alors je vis des mains essayant de m’attraper et des poings de me taper dessus. Juste au moment of je passais le troisième wagon, un coup de poing me toucha l’épaule. A ce point je réalisais qu’il y avait une bonne chance que je soie lynche avant que la police n’arrive.

Le cœur battant, j’ai saute dans la voiture et couru dedans le train, essayant d’atteindre ma position. Je ne me souciais plus de savoir s’il y avait encore des passagers dans les wagons; j’ai juste couru. Il y avait encore deux wagons a traverser, chacun sépare par une pair de portes de fer lourdes qui s’ouvraient lentement. Je les ai ouvertes avec toutes mes forces. Entre-temps, la foule essayait de me suivre dans le train. J’ai finalement atteint ma position et sans annonces, sans montrer mon visage a la fenêtre pour observer la plateforme, j’ai insère ma clef et fermé les portes. Les lumières sur le panneau indiquaient que la moitie des portes n’étaient pas fermées, ce qui voulait dire que les gens essayaient de les ouvrir. Âpres quelques minutes, la populace a arrête ses efforts et elles se sont fermées.

Je me suis cache dans la cabine pendant au moins une heure avant que la police soit enfin arrivée. « Quelle sorte de gens avez-vous vu courir avec des masques? » demanda le bureaucrate noir habille comme un home d’affaires. Je refusais de répondre, pour peur de dire que le fait qu’ils étaient noirs m’attirerais des ennuis. Il semblait être familier avec cette attitude de la part des blancs, car il dit calmement et en comprenant la situation « Ils étaient noirs, oui? » Il branla sa tète en réponse a sa propre question, et écrivit quelque chose sur un bout de papier.

Plus tard, en route vers les ateliers de réparations, accompagnes par la police, je me suis fait des reflections sur l’incident. Je me suis souvenu de toutes les fois ou j’ai entendu des libéraux disant que 99% des noirs sont de bons travailleurs qui obéissent les lois et que ce n’était seulement qu’un petit un pour cent qui causaient des ennuis. Peut être que j’ai des préjudices, mais parmi les centaines de gens sur ce quai de gare qui semblaient vouloir me lyncher, je n’ai pas vu un seul noir qui était bon travailleur ou qui obéissait la loi.

Pendant le même été, il y a eu un autre incident, prés de l’aéroport Kennedy. J’entendis quelque chose qui ressemblait a une explosion. Je suis allé enquêter, mais n’en a pas trouve la cause, bien que le son venait de très prés. Lorsque nous étions presque arrive a la gare suivante, j’ai été notifie que mon opératrice, une femme noire, a eu sa fenêtre cassée par une pierre aussi grosse qu’une tète d’enfant, que quelqu’un avait jetée, prés de l’aéroport. J’ai réalisé alors que le son que j’avais entendu était celui d’une deuxième pierre qui avait frappe le train entre deux wagons, juste manquant ma fenêtre. Une de ces pierres aurait pu facilement tuer quelqu’un. L’opératrice avait eu de la chance de s’sn sortir vivante.

Difficile a croire, mais j’ai travaille plus de deux ans dans le métro avant de tourner finalement mon dos a ce travail d’enfer, dans l’été de 1995. Je vis maintenant dans une communauté avec police privée a Manhattan. Je n’utilise le métro qu’en cas d’urgence.




Originally appeared in American Renaissance, Vol. 8, No.1, January 1997 as ‘Hell on Wheels.’ Available in English at www.amren.com/news/2008/09/hell_on_wheels/




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